1984 signe l'arrêt de fabrication de la 242 (production totale : 242 621 exemplaires). La première année fut le crû le plus distribué avec plus de 53000 coaches livrés, le dernier vit 7887 exemplaires vendus.

Le millésime 84 se remarque notamment par l'apparition de répétiteurs de clignotants sur les ailes avant, derrière le sigle Volvo, et également par la disparition de la moulure de ceinture de caisse fine au profit de la version large pour toute la gamme. Le capot nervuré est introduit en Suède, ainsi que la 240 break Turbo.

Le break 240 GLE est proposé dans la gamme française (il l'était précédemment sur le marché britannique par exemple), disponible en boite manuelle avec overdrive ou boite automatique avec overdrive également mais sans verrouillage de convertisseur, réservé à la gamme 700. La berline Turbo n'est plus livrable en rouge métallisé en France. La sellerie est désormais disponible constituée d'un drap à petits chevrons, d'un tissu-velours strié en diagonale, du velours à grosses cotes et du cuir à boutons des années précédentes.

Du coté des motorisations, le B19K de 102 ch supplante le B19A. Le couple du B19E augmente et est disponible à un régime plus bas (16,1 m.kg à 3 000 tr/min contre 15,3 m.kg à 4 500 tr/min auparavant), améliorant l'agrément de conduite. La puissance du B23E est réduite à 131 ch.

Sur le marché français, le break DL disparait. La berline DL bénéficie des vitres électriques à l’avant. La finition GL accueille des rétroviseurs électriques, le verrouillage centralisé et un compte-tours dans le bloc-compteur (sauf diesel). En janvier, la France dynamise ses ventes en proposant une série limitée break "Série Spéciale" : équipement de la GLE, mais moteur B19E ou diesel.

1984 est à marquer d'une pierre blanche en termes de ventes puisque c'est la meilleure année de production pour la berline 4 portes (plus de 133000 fabriqués) et pour le break (presque 86000).