1982 voit la présentation de l'iconoclaste (pour l'époque, iconique maintenant) break 245 Turbo, mais non disponible en France immédiatement. Il arbore, selon les marchés, une sellerie en velours (beige ou gris) ou en cuir (beige ou noir) et est disponible en noir anthracite, gris argent (rouge, bleu ou vert métallisé dans certains pays). Les 245 Turbo à teinte claire reçoivent une bande noir mat autocollante en haut des portes, à l'image des 244 Turbo. La motorisation est strictement identique à la berline Turbo. Le break reçoit des amortisseurs arrières à compensation de niveau (gonflables) pour assurer une assiette indépendante de la charge. Les marchés finlandais et italien reçoivent un nouveau moteur B19ET de 1,9 litre, adapté à leurs exigences légales, ce qui leur permet d'intégrer la 24O Turbo à leur catalogue.

Le millésime 1982 est très proche du millésime précédent, si ce n'est la sellerie tissu qui abandonne le relief côtelé pour un tissu plus lisse et d'aspect plus velouté. Le montant entre portes arrières et vitre latérale des breaks est recouvert d'un autocollant noir mat.

La 264 GLE ré-apparait en boite manuelle au catalogue français, pour une dernière année. En effet, sa rivale dans la gamme, la 760 GLE, est présentée en mai 1982. Au total, 132 390 exemplaires de la 264 ont été produites. La 265 est maintenue à la vente, la 760 n'étant pas proposée en version break immédiatement. C'est aussi la dernière année de partenariat avec Bertone sur la 264 TE (335 exemplaires réalisés au total).

Sur certains marchés comme le Royaume-Uni, la 244 GLT est proposée. Il s'agit quasiment d'une 244 Turbo, y compris les suspensions, avec le moteur B23E. Aux USA, le B21FT (turbo avec catalyseur), réservé à la 242 en 1981, est étendu à la berline 4 portes et au break.